Chez un bouquiniste, un adolescent tient à la main le numéro un d’Hara-Kiri.
- C’est une pièce rarissime que les amateurs s’arrachent à prix d’or, lui dit le marchand.
Je vous le laisse à 1200 €.
- Mais…j’ai retrouvé ça au grenier. C’est mon père qui avait dû l’acheter et je voulais vous le vendre.
- Ah ! fait le marchand, d’un air dégoûté. Il n’y a pas de demande, pour ce genre de vieillerie. Je vous en donne 30€ .